jeudi 9 avril 2020

Elon-m Tossou, l’artiste que préoccupe le coronavirus


Dans le cadre de l’adaptation de sa vision philosophique

La pandémie du coronavirus, qui décime actuellement le monde entier, quel qu’en soit le continent, amène à tirer des leçons sur le fonctionnement civilisationnel des hommes, dicté par les pays développés, en général, et par ceux occidentaux, en particulier, sous le couvert de la mondialisation. Se saisissant de la question, l’artiste peintre et sculpteur béninois, Elon-m Tossou, pointe du doigt le dévoiement des mœurs, fondé sur le dos tourné aux principes intrinsèques de la nature.

Elon-m Tossou, en pleine méditation vespérale, pour sortir l'Afrique du coronavirus
Des « fantômes terrestres », des « êtres cyniques sans foi ni loi », « qui ne connaissent plus la valeur de ce qu’ils sont ». Le diagnostic que pose Elon-m Tossou, artiste peintre et sculpteur béninois, des comportements humains au bout desquels se retrouve, selon lui, la pandémie du coronavirus dont le caractère dévastateur rendant impuissantes de nombreuses puissances économiques, moteurs du monde, amène à se poser des questions. Se livrant à cet exercice, il analyse : « La solution au coronavirus se trouve à côté mais les hommes ne la perçoivent pas à cause du manque de respect pour lui-même par l’être humain : il viole les règles de l’univers, il chosifie l’homme, il défie Dieu dont il croit qu’il détient tous les pouvoirs à cause des nombreuses connaissances qu’il a pu accumuler ». 


Placide, il détaille : « Concernant la chosification de l’homme, on est allé jusqu’à vouloir essayer un projet de vaccin sur les Noirs, des êtres humains considérés par d’autres comme des hommes de seconde zone. Ce sont des comportements que réprouvent les lois cosmiques et dont beaucoup d’autres, de cette nature, qui ont eu cours à travers plusieurs siècles, ont contribué à faire naître le coronavirus qui, sans pitié, décime l’univers, à partir des pays considérés comme les plus forts, les plus puissants : voilà une leçon dont on devrait se saisir afin d’en découvrir les tenants et les aboutissants. On doit respecter la terre ».


Entrevoyant les solutions possibles à cette pandémie, Elon-m Tossou n’y va pas par quatre chemins : « Je pense qu’elles se trouvent en Afrique au niveau des prêtres des religions endogènes qui se synthétisent autour du vodoun. Les responsables au plus haut sommet du vodoun, au Bénin, devraient taire leurs dissensions et se donner la main ».


A en croire l’artiste, cette étape cardinale franchie, il faudrait se tourner vers les divinités concernées par le coronavirus que sont rien d’autre que le ’’Sakpata’’, dieu de la terre, et ’’Dan’’, dieu de l’air. Il ne manque pas de justifier son choix : « La terre est le pivot de toute chose », commence-t-il, avant de conclure : « Quoi qu’on fasse dans l’univers, on revient inévitablement à la terre pour que ce qu’on fait ait un sens, une valeur ». 


Ainsi, selon lui, ’’Sakpata’’ qui, d’ailleurs, s’occupe des maladies, devrait être appelé pour prendre le contrôle de tous les éléments négatifs nuisibles sur la terre actuellement, dont le coronavirus, et les anéantir afin que les hommes retrouvent la santé, la paix et l’équilibre. « A la fin de ce processus se trouve la divinité ’’Lègba’’, le messager, sur qui devra être déchargé tous ces facteurs nuisibles afin qu’il les métamorphose en des éléments positifs et profitables à l’homme », chute provisoirement l’artiste.


Toujours selon Elon-m Tossou, ’’Dan’’ devra aussi intervenir parce qu’il est la divinité qui domine l’air par lequel passe le coronavirus pour atteindre l’homme, le fragiliser et l’abattre. En tant que distributeur de la richesse, il sera mis à contribution pour faire renaître la prospérité sur la terre après l’éradication du coronavirus.


« Pour moi, le plus important serait que l’Africain retourne à ses valeurs, à ses traditions », conclut l’artiste. « En effet, avec une simple plante, sur recommandation des sages des religions endogènes, une solution efficace peut être trouvée au coronavirus alors que le malheur de l’Africain est de tout attendre de l’Europe alors que tout est ici, chez nous, dans notre pays, sur notre continent, sans recours à l’occident », achève-t-il définitivement.

Marcel Kpogodo

jeudi 2 août 2018

Elon-m, deux escapades sénégalaise et chinoise

Dans le cadre des activités de l’artiste peintre

Dans un intervalle de deux mois, l’artiste peintre Elon-m Catilina Tossou, alias Elon-m, a participé à deux rendez-vous artistes importants : la Biennale de Dakar, en avril-mai 2018, et les ’’Camps d’été’’ de l’Université de Chongqing, la quatrième ville développée de la Chine, en juillet de la même année. Ces deux événements viennent enrichir l’expérience d’un jeune créateur béninois aux horizons plus que jamais ouverts.

Elon-m, à Pékin, plus précisément à Hanban, la base de l'Institut ''Confucius''
Deux expositions en ’’off’’, plusieurs rencontres et un carnet d’adresses enrichi. Le bilan que réalise l’artiste peintre béninois Elon-m Catilina Tossou, alias Elon-m, de sa participation à la treizième édition de ’’Daka’art’’, la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar, ce qui l’a amené à séjourner dans la capitale sénégalaise du 26 avril au 23 mai 2018, pour un événement qui s’est déroulé du 3 mai au 2 juin, sur le thème de ‘’L’heure rouge’’.
A en croire Elon-m, ’’Dak’art’’ 2018, comme dans les éditions précédentes, s’est fait le rendez-vous des professionnels des arts plastiques et des arts visuels. De son côté, l’artiste a été intégré dans la catégorie des expositions en ’’Off’’, l’apanage d’institutions particulières qui en sont les hôtes : les banques, les hôtels, les restaurants, les musées, les ambassades, les espaces publics et les résidences privées.

Un aperçu des toiles au Restaurant ''The Hub''
Ainsi, une vingtaine de ses toiles réalisées au couteau, a pu être consultée. D’abord, au Restaurant ’’The Hub’’, situé au centre-ville dakarois, trois peintres, deux installateurs et un architecte se sont produits du 7 au 14 mai. En compagnie de l’un des co-organisateurs de l’exposition, le peintre sénégalais Taha Diakhaté, notamment, Elon-m a fait contempler neuf tableaux majoritairement consacrés au Bénin, entre autres, aux revenants ’’Egungun’’. « Il s’agissait pour moi de faire la promotion de mon pays », commente-t-il, à ce propos. Quant aux sept dessins, ils portaient aussi sur le même sujet.

De gauche à droite, Yves Alavo, le mentor de l'artiste et, Elon-m, à la galerie du Restaurant ''Le Hub''
Ensuite, ’’Convergence’’ fut le thème de la seconde séance de démonstration collective de travaux artistiques, initiée par le promoteur culturel Daouda Dia. Cette exposition s’est tenue à l’Ecole de Bibliothécaires, d’archivistes et de documentalistes (Ebad), de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, du 3 mai au 2 juin 2018. Ici, le Camerounais Abdias Ngateu, les Guinéens Alseny Sakho et Ibrahima Thiam, puis le Béninois Elon-m étaient à l’honneur, et onze peintures du compatriote ont pu être vues.


Analyses

« Le système artistique fonctionne en des réseaux, dirigés par des mentors qui émanent des grands maîtres, des galeristes ou des responsables d’écoles internationales d’art », s’est désillusionné Elon-m, devant l’absence d’un tel processus dans son pays.

Elon-m, posant avec son aîné, El Anatsui (à gauche)
En effet, l’un ou l’autre de ces types de mentors est essentiel pour que l’artiste intègre les réseaux internationaux de l’art contemporain. Dans le cas d’espèce, l’artiste ghanéen El Anatsui, le plus cher de l’Afrique, chapeautait ses compatriotes créateurs ghanéens et ceux nigérians ayant utilisé son sillage pour participer à ’’Dak’art’’ 2018. Par ailleurs, un autre aspect des constats dakarois d’Elon-m : la prédominance des artistes contemporains de l’Afrique anglophones. 

De gauche à droite, les artistes de la jeune génération, Rémy Samuz, Elon-m, Achille Adonon, Eric Médéda, Benjamin Déguénon, Eliane Aïsso et, leur aîné à tous, Charly d'Almeida
Selon lui, du côté des francophones, le Sénégal, à travers ses artistes participants, s’est révélé comme un véritable chef de file, sans oublier qu’Elon-m a eu le plaisir et la satisfaction de croiser des confrères béninois à ’’Dak’art’’ 2018. 


Randonnée chinoise



De retour de Dakar, juste le temps de poser ses valises pour reprendre son souffle, Elon-m s’envole pour la Chine, pour Chongqing la « ville-marmite », telle qu’on l’appelle, du fait de la très grande chaleur qui y règne en été. Dans le cadre des ’’Camps d’été’’, un projet annuel de visites touristiques et pédagogiques, destiné aux apprenants étrangers de la langue chinoise, aux fins de récompense et de motivation de ceux-ci, l’artiste béninois a été accueilli dans la plus grande université de la ville, la ’’Chongqing Jiaotong University’’, spécialisée dans la formation en construction de ponts, du 1er au 19 juillet, comme les autres jeunes apprenants béninois sélectionnés avec qui il constituait une vingtaine de visiteurs.
En réalité, le Centre culturel chinois de Cotonou a désigné l’artiste pour prendre part à ce projet avec, comme missions, de faire connaître l’art béninois dans cette institution, de le promouvoir par des expositions et de mettre en valeur son talent de dessinateur à travers la représentation d’infrastructures de la ville de Chongqing, ce qui fut fait par un vaste répertoire d’œuvres : trente dessins sur divers éléments de la culture béninoise, six tableaux, tous partis du Bénin, et huit travaux de dessins réalisés dans la ville, en plus de deux toiles.

Elon-m, posant devant ses oeuvres, au cours du vernissage d'une exposition à l'Université de Chongqing ...
Concernant ces huit œuvres, elles montrent les points névralgiques de Chongqing : entre autres, la gare de métro faisant face à l’université, un site de tournage de films, les entrées numéros 1, en peinture, et 2, en dessin, de la ’’Chongqing Jiaotong University’’. 

... laissant les visiteurs contempler ses dessins ...
Quant aux deux toiles, elles matérialisent, respectivement, la façade l’Université et la coopération entre les universités de Chongqing et d’Abomey-Calavi, cette seconde étant de fondement d’inspiration cubiste. 

... et ses toiles
En fin de compte, la satisfaction d’Elon-m, après cette visite laborieuse en Chine, la deuxième de sa jeune carrière. « J’ai beaucoup aimé ce séjour ; j’ai aimé nos hôtes et eux aussi m’ont aimé », se réjouit, d’un œil nostalgique, Elon-m.



Oeuvres choisies


Des dessins 

Vue extérieure de la gare du métro de la ville de Chongqing, qui fait face à l'Université
Site de tournage de films, qui fait office de parc d'atteraction
Entrée numéro 2 de l'Université de Chongqing
Parc d'attraction très fréquenté par les amoureux, les jeunes couples
Domicile abandonné d'un ancien empereur de la province
Vue extérieure d'une partie de la ville de Chongqing, dans les montagnes
Aperçu de l'une des façades de l'Université



Des toiles

Tableau offert à l'Université, qui symbolise l'amitié, le brassage entre les universités d'Abomey-Calavi et de Chongqing
Entrée numéro 1 de l'Université (Tableau offert à l'Université)

Marcel Kpogodo 

mardi 13 mars 2018

Elon-m, les nouvelles influences vodoun


Face à une inspiration instantanée de l'artiste

Elon-m, de son vrai nom, Elon-m Catilina Tossou, artiste contemporain, sort à peine d'une exposition collective, en cours jusqu'au 24 mars 2018, au Centre culturel chinois de Cotonou, qu'il s'est déjà mis au travail. Le résultat en est un nombre exhorbitant de nouvelles toiles, des dessins dont il détient le secret des matériaux et des techniques, d'une composition novatrice, utilisés. Ces oeuvres sont inspirées des réalités religieuses endogènes du Bénin, celles liées au vodoun. Ceci lui permet la narration de gestes, de mouvements sacrés de la part de simples individus de la société, qui manipulent les énergies sacrées ou qui en sont victimes, ce qui donne lieu à plusieurs champs différents d'états, de situations. Découvrons plutôt quelques-unes de ces toiles ...


''Métamorphose 2''
''Métamorphose 1''   





 
''Egungun - Les revenants''
''Lègba''
''Mickey africain''
''Récade''
''Sortie d'enfant''
''Duplication''

''Lègba épouse''

''Métamorphose 3''
''Tchango''
''Appel des esprits''
''Egungun en démonstration''
''Egungun en démonstration 2''
''Métamorphose 4''
''Sakpata''
''Appel dans le vide''
''Lègba métamorphosé''
''La délivrance''

''Métamorphose accidentelle''

lundi 5 mars 2018

L’artiste Elon-m, plusieurs facettes du dialogue

Dans le cadre du vernissage d’une exposition éponyme au Centre culturel chinois


La Salle polyvalente du Centre culturel chinois accueille, actuellement, une exposition dont le vernissage a eu lieu dans la soirée du samedi 24 février 2018. Parmi les quatre artistes présentant les résultats de leur travail, Elon-m laisse découvrir des postures diversifiées du ’’Dialogue’’, thème de l’exposition.

Elon-m Catilina Tossou, dans ses explications, sur l'exposition indiquée

Dialogue politique, interculturel ou d’un tout autre ordre. De son nom à l’état civil, Elon-m Catilina Tossou, Elon-m en présente quelques-unes des manifestations dont certaines sont inattendues, à travers l’exposition, ’’Dialogue’’, dont le vernissage s’est déroulé le samedi 24 février 2018, à la galerie du Centre culturel chinois, un événement qu’il est important d’inscrire dans le contexte de la célébration du ’’Happy chinese new year’’ (Hcny), le Nouvel an chinois.
Sur une bonne quinzaine de toiles réalisées en résidence de création, qu’il soumet au regard du public, jusqu’au 23 mars prochain, sept sont visibles dans différents halls du Centre culturel chinois. Quant aux huit restantes, elles s’intercalent avec les tableaux produits par deux autres peintres avec lesquels Elon-m se trouve en exposition, Achille Zohoun et Esther Bigo, sans oublier que, par ses sculptures, Charly Djikou marque son analyse du thème du dialogue.
Dans un premier temps, le jeune artiste contemporain présente le sujet indiqué comme un processus mettant face-à-face des hommes de pouvoir et des personnes qui leur sont assujetties, par l’œuvre, ’’Mouvement de dialogue’’ I, laissant figurer essentiellement une table symbolique de discussions, dont les contours du dessin sont stylisés. Ensuite, ’’Danse d’initiation’’, notamment, fait subtilement la remarque de l’existence de plusieurs points de similitude entre des danses traditionnelles béninoises et chinoises, en ce qui concerne la tenue des pieds, la gestion des accoutrements, le choix des couleurs, entre autres, du rouge qui revient, de manière récurrente, dans les deux cultures. Le signe d’un palpable dialogue interculturel entre la Chine et le Bénin.
Par ailleurs, ’’L’ombre rouge’’ frappe par le rude combat qu’il suggère pour la conquête de la lumière, seule capable de réduire à néant l’emprise dominatrice de l’ombre rouge, un pouvoir de grande dictature, de forte oppression. En outre, avec ’’Dialogue des couleurs’’, il est absolument proposé un creuset formel pour la tenue d’échanges, de discussions salvatrices, un appel, semble-t-il, à la manifestation du minimum nécessaire d’humilité que suscite simplement le sang, afin que des protagonistes entrevoient de converger vers un point focal donné, pour l’exercice du dialogue. Et, comme pour correspondre avec l’actualité politique, Elon-m livre ’’Chemin de dialogue’’, montrant que, dans certaines circonstances, le compromis est difficile pour la rencontre initiale entre des membres de camps opposés. Paysagiste, le peintre l’est aussi, dans une finesse des représentations, ce qui contribue à le hisser haut, dans le genre, surtout lorsqu’on considère la toile 17, ’’Sans titre’’.
Manipulant avec un contraste agile les couleurs, faisant du rouge celle de sa prédilection, Elon-m, au fil des expositions, manipule, d’une part, à profusion et à perfection, un abstrait, géométrique, rendant, ceci, par cette caractéristique précise, décryptable, de même qu’il s’est fait un expert rare, au Bénin, d’autre part, de la manipulation du couteau, cette petite truelle de maçon, qui lui sert de pinceau. En ces temps de crise sociale, il est fortement recommandé de consulter le regard d’Elon-m sur les tenants et les aboutissants de l’accès au dialogue, à la Salle polyvalente du Centre culturel chinois.



Marcel Kpogodo    

mardi 12 juillet 2016

« Les adeptes de la divinité béninoise ''SAKPATA'' en démonstration »


Artiste : Elon-m Catilina Tossou
Adresse : telonm@yahoo.fr
Blog : www.catilinatossou.blogspot.com
Tél : 00229 96 43 06 09 - Cotonou
République du Bénin

lundi 12 janvier 2015

Travaux 2014 de l'artiste-plasticien béninois Catilina Elon-m

Dans le cadre d'une exposition personnelle libre dénommée "Danse contemporaine"


En 2014, Dieu Tout-puissant m'a doté d'une inspiration dont je voudrais partager avec vous, Chers Lecteurs, le résultat : ce sont quelques toiles que j'ai réalisées selon la peinture de l'acrylique sur toile, pour certaines, et du pastel à huile, pour d'autres.


Faux pas
Ce tableau exprime les premiers faux pas d'un nouvel adepte dans un couvent fétichiste ; c'est au fur et à mesure de son évolution qu'il se corrige.


Les pas sacrés
Avec ce deuxième tableau, nous sommes toujours dans la logique de la danse dans les couvents fétichistes du Bénin, surtout que nous sortons fraîchement de la commémoration, le 10 janvier dernier, de la fête des religions endogènes. Ici, ce sont les maîtres de couvent qui exécutent la danse ''Ogbon'', très traditionnelle, qui n'a pas un rythme fixe ; je mets aussi en exergue l'exécution de cette danse par les jeunes filles, surtout à leur sortie de leur initiation au couvent, où elles doivent prouver leur savoir-faire.

Marché de jarres
Sè, une localité du Mono au Bénin, région grande productrice de la jarre, un récipient aux nombreuses qualités mais négligée, rejetée par la jeune génération de femmes. Voilà la marque de mon combat social pour sensibiliser sur l'importance de la jarre dans le Bénin moderne.

Danse d'espoir
Au creux d'une grande déception amoureuse, mon personne se livre à la danse pour dépasser son état mélancolique.

Femmes au quotidien
Souvenir de mon séjour à Dakar, au Sénégal : les femmes sont sur la plage et attendent leurs pêcheurs de maris pour leur récupérer les poissons qu'ils ont récoltés et les mettre en vente, signe de la complémentarité sociale entre l'homme et la femme. 

Manu Dibango
Cette pièce, celle de la célébration des 50 années de la carrière musicale de celui que je me plais bien à appeler le ''Lion du Cameroun'', le ''Lion d'Afrique'' : Manu Dibango. Ses mélodies m'inspirent souvent des peintures, des interprétations musicales.

Danse d'amour
La femme, en quête de l'acte sexuel, le réclame pudiquement à son mari par une danse vraiment spéciale.

Tam-tam d'Afrique
En Afrique, tous les tambours ne sont pas identiques ; certains sont sacrés. Celui de la présente toile indique le tambour servant à annoncer le décès du roi, des notables, des grands dignitaires, des personnalités remarquables de la société. 

Les 7 femmes de la semaine
La polygamie, une réalité sociale africaine, m'a inspiré : ces personnages de femmes représentent, chacune, un jour de la semaine, celui qu'elles consacreront à leur mari commun.

Mentalisme
A travers ce tableau, j'expose l'homme au centre des quatre dimensions naturelles que sont l'eau, la terre, l'air et le feu.


Catilina Elon-m Amévi Tossou